Le télétravail n'est «pas une option», a affirmé Elisabeth Borne, ministre du Travail, et la nouvelle version du protocole sanitaire concernant les entreprises ainsi qu’une circulaire pour la fonction publique revoient les règles pour faire face à la crise du Covid. La règle du 100% de télétravail devient impérative et le travail en présentiel l'exception.
Cela a pour effet mécanique de provoquer une importante hausse de l’usage nécessaire du parapheur et de la signature électroniques, car, pas question cette fois-ci de ralentir les circuits de validation et de décision. Le confinement du printemps a vu beaucoup d’organisations “bricoler” avec des signatures dites « électroniques » qui n’avaient vraiment rien de juridiquement acceptables.
Aujourd’hui, devant l’urgence de la situation et l’incertitude de sa durée, il devient nécessaire de vraiment mettre en œuvre l’outillage qui soit adapté et conforme : le parapheur et la signature font dorénavant partie du dispositif prioritaire avec ou sans une gestion électronique de courrier « GEC », pour parapher un accord d’entreprise, pour suivre les courriers et les projets de réponse, pour contractualiser, valider un bon de commande ou évaluer annuellement ses collaborateurs… bref pour faire face à l’accélération du processus de validation à distance tout en étant en conformité avec les réglementations. Les impacts sont nombreux : techniques, réglementaires, processus, modes de travail, stockage et archivage…
Serda conseil accompagne de nombreuses organisations dans la mise en place de circuits dématérialisés de validation et signature électronique, et propose de partager avec vous les enseignements-clés et ses conseils pratiques si vous projetez de vous lancer sur ces sujets complexes.
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Alexandre CORBIER
Responsable événements
SERDA